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Suggestions de lecture

  • Franchir les murs selon Érika Soucy

    Une nouvelle chronique de notre libraire Stéphanie Rouleau sur le premier roman d’Érika Soucy ; Les murailles paru aux Éditions VLB.

  • Paul Valéry et la mise en scène de l’Esprit

    2070279138 Monsieur Teste | Gallimard 9782070711017 / 9782070714889 Les cahiers | Gallimard 9782070327348 Ego scriptor… Read more

  • Lovecraft d’après Houellebecq

    À l’âge de 16 ans, Michel Houellebecq découvre le mythe de Cthulu dans lequel est raconté le réveil de créatures puissantes et anciennes qui veulent régner sur le monde. L’adolescent est à la fois fasciné et terrifié. La lecture des nouvelles de Lovecraft est un choc pour lui et laisse l’impression la plus profonde. Plus tard, ces souvenirs de lecture l’inciteront à écrire une biographie sur celui qu’on qualifie de digne successeur d’Edgar Allan Poe.

  • David Goudreault et la voie de la violence

    « Ma mère se suicidait souvent. » Déjà, on comprend que tout ne peut qu’aller mal pour l’antihéros de La bête à sa mère, le premier et excellent roman de David Goudreault.
    En effet, le narrateur annonce, dès le début, qu’il est suspecté du meurtre d’une personne encore non identifiée. Tout le roman sera consacré à sa version des faits, à sa description d’une vie qui aurait difficilement pu mener à autre chose qu’à la violence.

  • L’amour dévorant selon Véronique Grenier

    « Tu me tues, tu me fais du bien. » Cette phrase de Marguerite Duras, tirée de Hiroshima, mon amour, mérite absolument sa place en exergue du roman Hiroshimoi de Véronique Grenier, paru aux excellentes éditions de Ta Mère.

  • Baron Marc-André Lévesque : poète ludique

    Chasse aux licornes, c’est le genre de titre qui accroche l’œil et qui pique la curiosité, surtout quand l’auteur se nomme Baron Marc-André Lévesque et que la couverture du livre est d’un jaune on ne peut plus voyant. On peut avoir des doutes sur la qualité des poèmes qui composent ce recueil, mais si on ose y plonger, on ne le regrette absolument pas.

  • Amélie Dumoulin : «Une Fé sans Elle»

    Ce livre raconte l’histoire de Fé, une jeune adolescente en quête de soi. C’est un livre d’amour aussi, mais le sujet principal est la recherche de l’identité du personnage. Fé se love dans l’imaginaire et dans la musique. Elle ne fait qu’un avec son violoncelle et elle a une amie un peu bizarre, avec qui elle se sent bien. Elle n’a pas un physique à tout tomber, mais rien ne l’empêche de voir la vie d’une façon assez spéciale.

  • André Belleau : être à l’écoute des mots

    Décédé il y a 30 ans, l’essayiste André Belleau nous a légué quelques classiques de la littérature québécoise dont Surprendre les voix, réédité récemment dans la collection « compact » de Boréal. Fin analyste de la semiosis sociale, Belleau est avant tout un intellectuel engagé dans une réflexion touchant la philosophie du langage, la théorie littéraire et la culture québécoise. Dans l’optique qui est la sienne, surprendre les voix consiste à être à l’écoute de la polyphonie et des différentes instances narratives qui s’entrechoquent, des diverses voix qui se lèvent et qui s’arrachent la place de la mise en parole.

  • James McBride et la Deuxième guerre mondiale

    James McBride s’attarde au contexte de la Deuxième guerre mondiale sous un angle très particulier. S’il s’agit, en terme de récit, de l’histoire d’un régiment de soldats américains noirs dans la campagne d’Italie et de la réussite inattendue de quelques-uns d’entre eux face à l’incrédulité de leur État-major blanc, c’est surtout au niveau du traitement du récit que ce roman atteint à la grandeur. En effet, aucun des personnages principaux, soldats noirs, blancs, allemands, partisans italiens, fascistes convaincus, n’est manichéen; il n’y a pas d’affrontement entre le bien, nous, et le mal, eux.

  • Patrick Chamoiseau : langue et langage antillais

    n écrivain antillais comme Patrick Chamoiseau est amené, à travers son œuvre, à penser la langue. Le lecteur de Texaco interprète ainsi une véritable « fiction de langue », laquelle n’est pas sans situer au cœur du livre de Chamoiseau une réflexion sur le langage de même qu’un fictionnement de l’interaction langagière. L’une des stratégies textuelles de l’auteur est de faire cohabiter plusieurs voix.

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