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Le voyage… vu par des libraires
Ouvrir un livre, c’est débuter un voyage. Un voyage dans une autre vie que la nôtre, dans d’autres lieux, dans un autre espace-temps, parfois même un périple introspectif dans notre âme et notre cœur. On en ressort heureux·se, bouleversé·e, touché·e, grandi·e… Et de la même façon que l’on revient d’un voyage, fermer un livre qu’on a aimé est une sorte de deuil. Mais c’est aussi un bagage de souvenirs inestimables et une promesse d’expériences futures à venir ou à renouveler.
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Une sortie honorable
Ce qu’il en a pensé J’aime beaucoup ce qu’Éric Vuillard fait dans le domaine littéraire. … Read more
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Brassens et moi
Ce qu’il en a pensé En 2021, on a célébré le centième anniversaire de la… Read more
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Une terre promise
Dans Une terre promise, Barack Obama nous raconte son cheminement vers la présidence des États-Unis,… Read more
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Album Falardeau
Ce qu’il en a pensé En ce temps de nationalisme frileux au bord du précipice… Read more
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Suggestions de Noël!
Le temps des Fêtes est de nouveau à nos portes et la folle course aux cadeaux est déjà bien entamée. Pour vous inspirez dans votre recherche du parfait présent, l’équipe de la librairie La Liberté vous propose ses coups de cœur de lecture à offrir pour tous les âges.
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Histoires de crimes
L’intérêt de la population pour le True Crime (ou le documentaire criminel) connaît, depuis les dernières années, un essor assez important. C’est en cette mi-octobre, mois de l’horreur, que j’exploite cette fascination grandissante pour la criminologie en vous présentant quelques-uns de mes coups de cœur littéraires sur le sujet.
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Marée montante de Charles Quimper : cosmogonie d’un deuil
Dans Marée montante, le père d’une jeune noyée trouve refuge dans chaque gouttelette en y voyant autant de petits cailloux laissés par sa fille pour qu’il trouve son chemin jusqu’à elle. Entre les murs de sa maison chargée de souvenirs, il vit à demi, l’oreille qu’on croirait soudée à un coquillage murmurant l’appel obsédant de la mer. Pris peu à peu d’une insoutenable ardeur de naufragé, il décide de construire un voilier pour aller la retrouver. À bord de son rafiot, ballotté par des flots menaçants, il revisitera alors la courte vie de son enfant en faisant de leurs jeux, de leurs rires, la cosmogonie d’un deuil qui transcende les forces de la nature.