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livre

  • « Little Heaven » de Nick Cutter

    Le Mal est-il un principe qui habite chaque être humain, que nous le voulions ou non? Dans quelle mesure chacun d’entre nous doit-il composer avec une part plus ou moins obscure de son âme, de son esprit? Posé ainsi, le problème semble purement métaphysique, bien que, depuis Freud, la psychologie y ait son mot à dire. En 1898, Henry James posait en partie la question en donnant à sa fameuse histoire de fantôme ce « tour d’écrou supplémentaire » qui la rendait si délicieusement subversive. La narratrice rejetait sur la responsabilité d’anciens gardiens la personnalité malfaisante des deux enfants dont elle avait la garde; James avait eu le mérite de ne pas donner de réponses claires (d’autant plus que la santé mentale de la narratrice était pour le moins chancelante!).

  • couverture

    «La perte et l’héritage» de Raphaël Arteau McNeil

    Pourtant, l’éducation est le propre de l’homme. En refusant la transmission des grandes œuvres, c’est notre humanité que l’on met à mal. Pour conserver les apparences, nous avons fait place au règne de la spécialisation, au risque de former des êtres bornés. La plupart du temps, c’est bien ce qui arrive : selon Arteau McNeil, la spécialisation ne remplit que très partiellement l’office de l’éducation véritable. Si l’éducation « est l’activité qui consiste à réfléchir sur son expérience » (p. 40), c’est à la transmission d’une culture générale que les professeurs doivent attacher leur attention. L’expérience, forcément multiple et complexe, peut être appréhendée par l’intelligence des grandes œuvres. Elles ne sont pas grandes par intention élitiste ou volonté d’oppression, mais bien grandes parce qu’elles ont su exprimer « le meilleur de ce qui a été pensé et connu » (p. 55). De Xénophon à John Erskin, l’essayiste dresse la genèse et la raison d’être de l’éducation par les œuvres marquantes, qui jusque dans les années 60, était considérée comme progressiste. Personne n’ignore plus aujourd’hui l’irritant procès en conservatisme auquel elle est soumise…

  • Amélie Dumoulin : «Une Fé sans Elle»

    Ce livre raconte l’histoire de Fé, une jeune adolescente en quête de soi. C’est un livre d’amour aussi, mais le sujet principal est la recherche de l’identité du personnage. Fé se love dans l’imaginaire et dans la musique. Elle ne fait qu’un avec son violoncelle et elle a une amie un peu bizarre, avec qui elle se sent bien. Elle n’a pas un physique à tout tomber, mais rien ne l’empêche de voir la vie d’une façon assez spéciale.

  • Louise Portal à la Librairie La Liberté

    Louise Portal est indéniablement une personnalité aux multiples talents et aimée par le Québec. Actrice, auteure, chanteuse et romancière, cela fait plus de quarante-cinq ans qu’elle occupe une place importante dans le paysage culturel québécois. Il y a cinq ans, une tragédie frappe : elle perd sa sœur jumelle, Pauline Lapointe, terrassée par un cancer du sein. Cheminement dans le deuil, réconciliation avec le passé, Pauline et moi est un récit intime et vibrant d’authenticité, de même qu’un merveilleux hommage à cette sœur disparue. « Sans fard, l’auteure raconte la maladie, la mort, l’amour, la vie dans ce qu’elle a de lumineux, mais aussi de souffrant. Car si les jumelles ont partagé une complicité réjouissante, leur relation aura également été marquée par les déchirements, les ruptures et les réconciliations. Récit d’une grande épreuve vécue et surmontée, Pauline et moi est une invitation à croire en l’amour au-delà des limites humaines. »

  • Je m’appelle livre de John Agard

    Découvrez l’histoire du Livre décrite par John Agard