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Libre de lire

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    Si on était d’Axelle Lenoir

    Après L’Esprit du camp tomes 1 et 2, honorés dans la liste préliminaire du prix des libraires en 2018 et 2019, Axelle Lenoir (auparavant connue sous le nom Michel Falardeau) publie le premier volume de Si on était. La bande dessinée, d’abord publiée dans le magazine Curium, met en scène Marie et Nathalie, deux adolescentes et meilleures amies. La première est spontanée, positive, naïve et nulle en anglais, alors que la seconde est plus réfléchie, timide et intellectuelle. Parce que la vie d’ado comporte parfois des moments d’ennui, les deux adolescentes s’adonnent régulièrement à leur jeu préféré, « si on était ». Les règles sont simples : « une personne nomme un sujet – admettons « les fruits » – et les participants doivent ensuite s’imaginer ce qu’ils seraient en se soumettant aux contraintes du sujet ».

  • La renarde et le mal peigné de Pauline Julien et Gérald Godin

    D’abord, le syndrome du voyeur nous prend : vais-je réellement faire intrusion au coeur d’une telle intimité, m’immiscer ainsi dans les coulisses de la vie commune de ces deux personnalités publiques? S’arrêter à cet inconfort reviendrait toutefois à négliger l’aspect littéraire de ces lettres, la profondeur des réflexions sur l’amour et sur l’écriture qu’elles entrainent. On s’abandonne peu à peu à leur lecture pour réaliser que la relation qu’entretiennent les deux artistes est un projet tout aussi prenant et important que la carrière musicale de Pauline ou l’engagement politique de Gérald.

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    Super-héros : une histoire politique de William Blanc

    Divertissement et critique sociale : le super-héros dans la loupe de l’historien Grâce au cinéma, l’ubiquité… Read more

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    Outresable de Hugh Howey

    La plongée de Howey En 2013, un nouvel auteur de science-fiction a fait son apparition… Read more

  • La plupart du temps je m’appelle Gabrielle de Stéfani Meunier

    Tout en s’apparentant à un récit, le roman de Stéfani Meunier recèle bon nombre de monologues : tour à tour, les personnages de Gabrielle et de Jasmine parlent d’elles-mêmes et de leur passé. À coups de chapitres courts, le roman laisse place aux pensées vagabondes des protagonistes, à des retours sur certains événements du passé et à l’histoire de Jean et de Lougan, laquelle oscille entre le bonheur et le malheur. Toute la beauté du livre de Stéfani Meunier réside dans les parallèles qui existent entre les personnages et leur passé, et qui s’emboîtent pour créer un tout. La jeune fille raconte son enfance, l’histoire de ses  »deux » mères et de son père doux et gentil, son refus de quitter le monde de l’enfance à tout jamais, etc. La mère fatiguée narre la vie qu’elle mène avec les jumeaux dysfonctionnels, tout en racontant sa vie d’avant lorsqu’elle habitait sur une île. Le thème du double revient constamment dans le récit, comme si chaque personnage en reflétait un autre.

  • Le corps souillé d’Éric Falardeau

    À la fois racoleur (corps et pornographie) et avilissant (souillures et fluides corporels), le titre du dernier essai d’Éric Falardeau ne cache pas moins un ouvrage nous plongeant dans une lecture palpitante. L’essayiste a entrepris une recherche fouillée sur deux genres cinématographiques mal-aimés: le gore et la pornographie. Selon l’auteur, ces deux genres sont inextricablement liés…

  • Je suis née dans un village communautaire de Kaya Takada

    On retrouve ce phénomène un peu partout dans le monde : des gens quittent leur vie quotidienne pour former une nouvelle communauté. Ces communautés, nous les nommons communes, écovillages, villages communautaires, éco-communauté et village associatif alternatif, et elles adoptent le même modèle : les gens se regroupent pour vivre en autarcie et s’adonnent à l’agriculture pour assurer leur subsistance, tout en essayant le plus possible de ne pas dépendre du monde extérieur pour quoi que ce soit. Pour un adulte, cette vie peut sembler idyllique; une vie où l’on s’occupe de la terre, de la communauté et de soi. Mais qu’en est-il des enfants? La mangaka Kaya Takada a vécu son enfance et son adolescence dans ce type de village au Japon. Dans le manga documentaire intitulé Je suis née dans un village communautaire, publié aux éditions Rue de l’échiquier, elle raconte son expérience et donne son point de vue.

  • Vingt cinq moins un de Geneviève Piché

    Que faire quand un élève meurt subitement? Quand un enfant disparaît sans avertissement? Comment réagir? Comment rassurer les autres, leur expliquer qu’ils ne verront plus leur camarade de classe? Ce sont ces questions qu’aborde Geneviève Piché dans son roman Vingt-cinq moins un paru le mois dernier aux Éditions Québec Amérique.

  • Par la peau des couleuvres de Mathieu Simoneau

    Trois ans après la parution de son premier recueil, Il fait un temps de bête bridée, le poète de Québec Mathieu Simoneau nous revient avec un nouvel ouvrage, intitulé Par la peau des couleuvres et publié, tout comme le précédent, aux Éditions du Noroît.

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    Le dernier roi des loups de William Grill

    Entre documentaire et fiction, l’histoire est celle de Lobo le loup, membre d’exception de son espèce qui marquera l’imaginaire collectif de l’Ouest des États-Unis d’Amérique dans la deuxième partie du 19e siècle. Déterminés à erradiquer ces animaux considérés alors comme indésirables, fermiers et éleveurs ne cessaient de traquer Lobo et sa meute dans le but de les tuer. Pourtant, le roi des loups semblait faire preuve d’une ruse sans faille, déjouant tous les plans des hommes. En 1893, un naturaliste anglais nommé Ernest Thompson Seton, également chasseur de loups et dont la famille avait immigré au Canada quand il était petit, entendit parler de la rumeur entourant Lobo, qui peu à peu avait pris des allures de légende. Paré du meilleur équipement, il fit donc de la capture du loup son nouvel objectif.

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