La Librairie La Liberté est située au 1073, route de l’Église, Québec (Québec), G1V 3W2

horreur

  • Les éditeurs jeunesse s’emballent!

    Les éditeurs et les auteurs jeunesse se démènent chaque saison pour offrir des livres originaux qui sauront captiver les jeunes lecteurs. Voici donc quelques coups de coeur de la littérature pour adolescents et pré-adolescents qui, selon moi, ont su se distinguer. Bonne lecture!

  • Célébrons la littérature jeunesse!

    À l’approche du temps des fêtes (oui oui, déjà!), le rayonnage des librairies est envahi par une multitude de nouveautés. Comment résister face à tant de belles publications! Je vous propose la découverte de quelques coups de cœur, que vous pourrez retrouver au rayon jeunesse.

  • Le Rituel et Derniers jours d’Adam Nevill

    Dans Le Rituel, quatre randonneurs anglais s’égarent au sein d’une forêt sombre et épaisse de la Suède. Au cœur de ce lieu qui semble appartenir à une autre ère, ils ne tardent pas à avoir l’impression que quelqu’un, quelque chose de très ancien les menace. En témoigne les offrandes macabres qu’ils trouvent sur leur chemin. En très peu de temps, ils doivent lutter pour leur survie, rationner la nourriture, se protéger. Et rien ne peut les avoir préparés à ce qu’ils découvriront. Quelques années plus tard, un cinéaste indépendant, Kyle Freeman, personnage principal de Derniers jours, aura réalisé un documentaire sur la disparition de quatre randonneurs en Suède. Un an après la réalisation de ce film, il commence un tournage à propos d’une secte de l’époque hippie. Les lieux qu’il visite semblent habités par une présence indicible qui dépasse l’entendement humain. Lui et son caméraman n’auront d’autres choix que de revoir leur conception rationnelle du monde.

  • « Little Heaven » de Nick Cutter

    Le Mal est-il un principe qui habite chaque être humain, que nous le voulions ou non? Dans quelle mesure chacun d’entre nous doit-il composer avec une part plus ou moins obscure de son âme, de son esprit? Posé ainsi, le problème semble purement métaphysique, bien que, depuis Freud, la psychologie y ait son mot à dire. En 1898, Henry James posait en partie la question en donnant à sa fameuse histoire de fantôme ce « tour d’écrou supplémentaire » qui la rendait si délicieusement subversive. La narratrice rejetait sur la responsabilité d’anciens gardiens la personnalité malfaisante des deux enfants dont elle avait la garde; James avait eu le mérite de ne pas donner de réponses claires (d’autant plus que la santé mentale de la narratrice était pour le moins chancelante!).