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La dame au petit chien, de Anton Tchékhov

Titre : La dame au petit chien | Éditions : Folio classique.
ISBN : 9782070410576.

La dame au petit chien de Tchékhov au cinéma.

Cette courte nouvelle de Tchékhov est au cœur du scénario du film Gurov et Anna, réalisé par Rafaël Ouellet.

La dame au petit chien, une nouvelle de Anton TchékhovElle raconte l’histoire d’une liaison extra-conjugale qui se transforme en amour profond et sincère. Dmitry Dmitritch Gourov, un homme au début de la quarantaine, recherche une aventure sans lendemain et fait la rencontre de la mystérieuse Anna Sergueïevna, jeune femme de vingt ans à peine, habitée par la naïveté et la jeunesse.Malgré eux, ce sera le point de départ d’une relation marquée par le bonheur de l’amour véritable, mais aussi par la clandestinité d’une situation qui ne sera jamais révélée au grand jour.

Le film, quant à lui, met en scène un professeur de littérature qui a développé au fil des années une obsession pour La dame au petit chien, élément central de son cours. Éprouvant des difficultés conjugales, il sombre dans une liaison passionnée avec l’une de ses étudiantes.

La fiction semble ici avoir une influence puissante sur la réalité… Je vous recommande fortement la lecture de cette nouvelle, merveilleux prélude à ce film prometteur. Nouvelle qui s’achève sur une fin qui pourrait être un commencement, ouverte vers l’avenir.

Une chronique de La dame au petit chien d’Anton Tchékhov proposée par Éléna Laliberté.

Pour clore cette critique, voici des extraits de la quatrième de couverture d’un livre disponible chez Folio et que vous pourrez – bien entendu – retrouver dans les rayons de votre librairie préférée :

« La dame au petit chien promène son ennui et son chien sur la digue d’une station de la mer Noire. Un homme solitaire la remarque, l’aime mais ne peut triompher plus tard de toutes les barrières qui se dressent sur le chemin de leu bonheur.

Anton Tchékhov souffrait d’une impossibilité d’aimer. Mais, l’amour lui inspire émotion ou ironie et une grande variété de tableaux : Une nouvelle qui n’a pas de femmes, écrit-il, c’est une machine sans vapeur. L’héroïne par excellence est pour lui la femme incomprise, qui rêve d’une autre vie, inaccessible. »

Enfin, si vous souhaitez jeter un coup d’œil à la bande annonce de Gurov et Anna, voici pour vous :

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Les chroniques de Éléna Laliberté, Romans