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									Michel Bernanos et La Montagne morte de la vieLe sable, rouge lui aussi et fin comme de la poudre, signale un biome totalement inconnu, où le végétal côtoie le minéral à la façon d’un fervent son idole. Désorienté, démuni, le duo se détermine à s’enfoncer dans l’abondance verte pour rejoindre les montagnes, dans l’espoir d’y retrouver un environnement plus familier. Dans la succession des jours, le déplacement se ponctue d’inquiétantes découvertes : des plantes carnivores à la sève de sang, une bouche de sable mangeuse d’homme, le bruit lourd d’une respiration sous-terraine et surtout des sculptures anthropomorphes dignes d’un démiurge 
