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chronique

  • Aux aiguilles, citoyennes!

    Un texte d’Aline Néron, libraire Une amie m’a récemment offert le livre Tricoteuses et dentellières, publié… Read more

  • UN POÈTE CHEZ LES ÉLEVEURS DE PICKUPS

    de Michel X Côté (Éditions du Quartz, septembre 2023) Une chronique de Serge Durand La… Read more

  • DÉDÉ, par Christian Quesnel : une chronique de Serge Durand

    Cette Bd Documentaire vibre, vrille, avive par une aquarelle forte les émotions qui accompagnent les… Read more

  • Femme, vie, liberté : Une suggestion de Serge Durand, lecteur engagé

    Nous vivons une sombre époque où l’intégrisme religieux prie pour nous faire revenir au temps… Read more

  • Le contrat social

    « Tous les Blancs sont bénéficiaires du contrat, bien que certains d’entre eux n’en soient pas… Read more

  • Meurtres sur la Madison

    Ce qu’elle en a pensé Quand Martha Ettinger fait appel à son ami Sean Stranahan,… Read more

  • howey

    Outresable de Hugh Howey

    La plongée de Howey En 2013, un nouvel auteur de science-fiction a fait son apparition… Read more

  • La plupart du temps je m’appelle Gabrielle de Stéfani Meunier

    Tout en s’apparentant à un récit, le roman de Stéfani Meunier recèle bon nombre de monologues : tour à tour, les personnages de Gabrielle et de Jasmine parlent d’elles-mêmes et de leur passé. À coups de chapitres courts, le roman laisse place aux pensées vagabondes des protagonistes, à des retours sur certains événements du passé et à l’histoire de Jean et de Lougan, laquelle oscille entre le bonheur et le malheur. Toute la beauté du livre de Stéfani Meunier réside dans les parallèles qui existent entre les personnages et leur passé, et qui s’emboîtent pour créer un tout. La jeune fille raconte son enfance, l’histoire de ses  »deux » mères et de son père doux et gentil, son refus de quitter le monde de l’enfance à tout jamais, etc. La mère fatiguée narre la vie qu’elle mène avec les jumeaux dysfonctionnels, tout en racontant sa vie d’avant lorsqu’elle habitait sur une île. Le thème du double revient constamment dans le récit, comme si chaque personnage en reflétait un autre.

  • Le corps souillé d’Éric Falardeau

    À la fois racoleur (corps et pornographie) et avilissant (souillures et fluides corporels), le titre du dernier essai d’Éric Falardeau ne cache pas moins un ouvrage nous plongeant dans une lecture palpitante. L’essayiste a entrepris une recherche fouillée sur deux genres cinématographiques mal-aimés: le gore et la pornographie. Selon l’auteur, ces deux genres sont inextricablement liés…

  • Je suis née dans un village communautaire de Kaya Takada

    On retrouve ce phénomène un peu partout dans le monde : des gens quittent leur vie quotidienne pour former une nouvelle communauté. Ces communautés, nous les nommons communes, écovillages, villages communautaires, éco-communauté et village associatif alternatif, et elles adoptent le même modèle : les gens se regroupent pour vivre en autarcie et s’adonnent à l’agriculture pour assurer leur subsistance, tout en essayant le plus possible de ne pas dépendre du monde extérieur pour quoi que ce soit. Pour un adulte, cette vie peut sembler idyllique; une vie où l’on s’occupe de la terre, de la communauté et de soi. Mais qu’en est-il des enfants? La mangaka Kaya Takada a vécu son enfance et son adolescence dans ce type de village au Japon. Dans le manga documentaire intitulé Je suis née dans un village communautaire, publié aux éditions Rue de l’échiquier, elle raconte son expérience et donne son point de vue.

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